samedi 23 novembre 2013

Les Enfants de la Terre, tome 4 : Le Grand Voyage



Les Enfants de la Terre, tome 4 : Le Grand Voyage, Jean M. Auel

Éditions France Loisirs

1020 Pages

Résumé :

Ayla et Jondalar, son compagnon, continuent leur traversée des steppes immenses du continent européen à l'ère glaciaire. La femme aux cheveux d'or et le géant blond suscitent le trouble et l'effroi sur leur passage. Les peuples qu'ils rencontrent vivent de chasse, de cueillette, et n'ont jamais vu d'animaux domestiqués. Or, ce couple étrange se déplace à cheval, en compagnie d'un loup apprivoisé. D'où tient-il donc ses pouvoirs ?
En quête d'un lieu qui deviendrait leur foyer, Ayla et Jondalar affronteront mille périls et feront maintes découvertes au cours de ce voyage initiatique à travers un monde inconnu, dangereux et grandiose.

Mon avis :


J'appréhendais ce tome étant donnée que c'est dans ce tome que Jondalar retourne chez lui, les Zélandonii, avec Ayla. Si vous avez lu mon avis sur le tome 2, La Vallée des Chevaux, vous saurez que je n'avais pas apprécié Jondalar et son voyage qui l'a mené jusque Ayla dans sa petit vallée. C'est pourquoi je craignais ce voyage qui devait bien arrivé un jour ou l'autre et de même, je redoutais les répétitions "habituelles" de l'auteure.

Ce tome permet à Ayla de faire la connaissance des peuples que Jondalar et son frère Thonolan ont rencontré durant leur voyage, une chose plutôt positif pour elle. Ce qui est bien ici, c'est que les scènes avec ceux que Jondalar avait rencontré auparavant reste courte, ce qui évite les répétitions fréquentes de Jean M Auel bien qu'il y en ai quand même avec la description du paysage, par exemple.

Le point négatif de ce roman est la longueur. La romancière aurait largement pu raccourcir ce tome assez long pour ce qui s'y passe : le peu d'action peut parfois laisser place à la lassitude. Et justement, pendant toute la première partie du livre, je me suis un peu ennuyée sans pour autant me mettre détester ce livre.
Bien heureusement, le couple fera plusieurs rencontres, ce qui pimentera le récit, notamment avec la rencontre des S'Armunaï ou encore des Têtes Plates, mais je ne peux pas détailler cela pour ne pas vous gâcher la lecture. En tout cas, j'ai vraiment adoré la rencontre avec les S'Armunaï et j'ai presque l'impression de ne retenir que cette rencontre du livre.

Encore une chose qui m'a plus ou moins déplut : j'ai l'image d'un Jondalar qui domine en imposant régulièrement à Ayla de se remettre en route et cela me gêne un peu puisque je préfèrerai que ce soit le contraire. Ayla reste toujours ma chouchoute, mais ce n'est qu'un détail qui ne m'a pas fortement dérangé non plus.

Ce que je retiens également ici, c'est que l'auteure n'a pas oublié le vêtement qu'Ayla a fabriqué chez les Mamutoï à l'intention de Jondalar. Me voilà rassurée étant donnée que j'ai hâte que la belle Ayla offre sa fabrication à son compagnon et de voir la réaction de ce dernier.

En conclusion, ce tome est un peu longuet mais cela ne m'a pas empêché pas d'avoir apprécié cette lecture, merci aux S'Armunaï !
Je pense qu'en le raccourcissant, ça aurait pu être un excellent tome.

Merci à Parthenia pour cette lecture commune.

samedi 26 octobre 2013

Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, tome 3



Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, J.K Rowling

Editions Folio Junior

461 pages

Résumé :

Sirius Black, le dangereux criminel, qui s'est échappé de la forteresse d'Azkaban, recherche Harry Potter. C'est donc sous bonne garde que l'apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme : des cours de divination, la fabrication d'une potion de ratatinage, le dressage des hippogriffes... Mais Harry est-il vraiment à l'abri du danger qui le menace ? Le troisième tome des aventures de Harry Potter vous emportera dans un tourbillon de surprises et d'émotions. Frissons et humour garantis !

Mon avis :

Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban : un troisième tome pour une troisième année à Poudlard.

Comme dans les deux premiers tomes, on part retrouver notre petit Harry qui passe les vacances d'été chez son honrrible oncle et sa peste de tante avant de retourner à Poudlard pour la rentrée. Dans ce tome, des nouveaux personnages font leur apparaition notamement le prisonnier d'Azkaban, Sirius Black et le proffesseur de défense contre les forces du mal, Remus Lupin.

La relecture de ce tome a été pour le moment la meilleure des trois premiers tomes. La raison est simple : beaucoup de chose était sortie de ma tête.
Je me souvenais des nouveaux personnages et de quelques autres nouveautés mais impossible de me souvenir du contenu exacte de cette année scolaire à Poudlard. Par conséquent, j'imaginais déjà voir surgir Voldemort comme dans les tomes précédents.

Ce qui à été très agréable ici, c'est que l'auteure nous en apprend plus sur la famille de Harry si bien que cela nous rapproche du héros. Par contre, je me suis senti plus éloignée d'Hermione que dans les précédents tomes puisque je la trouve un peu moins présente ici alors qu'au contraire je m'attendais à la voir plus. Et ça, je le regrette un peu étant donnée que j'adore ce personnage même si ce n'est pas très dérangeant puisqu'en contre partie, le lecteur à le droit à d'autres personnages que j'ai trouvé attachant.

Comme à son habitude, J.K Rowling partage avec le lecteur de nouveaux lieux avec le village de Pré-au-lard, des passages secrets à Poudlard...
Je ne sais pas pour vous mais moi, j'ai qu'une envie : rentrée dans le roman pour visiter le chateau, le village, rencontrer nos trois héros, utiliser la carte du maraudeur, etc.
Qu'est ce qu'est la carte du maraudeur justement ? Eh bien, j'ai envie de dire comme toutes les inventions de Rowling, c'est une invention géniale mais je ne vous en dis pas plus dans le cas où certains n'auraient pas lu/vu le livre/film.

En bref, j'ai vraiment passé un bon moment en relisant ce tome.

dimanche 6 octobre 2013

Les Enfants de la Terre, tome 3 : les Chasseurs de mammouths



Les Enfants de la Terre, tome 3 : Les Chasseurs de mammouths, Jean M. Auel

Éditions Pocket

914 pages

Résumé :

Pendant plusieurs saisons, Ayla et son compagnon Jondalar ont tout partagé.
Ils ont taillé le silex, entretenu le feu, chassé le renne et le cerf, construit des abris et des bateaux. Ensemble ils ont eu peur et froid, et vécu dans une intimité du corps et de l'esprit qui a fait naître en eux un sentiment troublant et inconnu. Le clan remuant des " chasseurs de mammouths " qui les accueille est stupéfait par ce couple de géants blonds aux yeux bleus qui savent monter à cheval et apprivoiser le loup.
Parmi eux, Ranec le sculpteur est ému par Ayla. Le combat immémorial de l'amour et de la jalousie s'est déclenché.

Mon avis :

Ce tome commence là où l'on s'est arrêté dans le tome précédent c'est-à-dire qu'Ayla et Jondalar rencontrent les Mamutoï, un camp de chasseurs de mammouth.
Ayla et Jondalar vont être adopté par les Mamutoï, ainsi, Ayla en apprendra un peu plus sur les Autres.

Si vous avez lu mon avis sur le tome précédent, vous saurez que j'ai très peu d'affection pour Jondalar. Donc, en commençant le roman, j'ai essayé de me mettre dans la tête que ce Jondalar n'était pas si désagréable et pénible que ça, histoire qu'il ne gâche pas trop ma lecture.

Ce qui est appréciable ici, c'est le fait qu'Ayla rencontre les siens et en apprend plus sur la culture des Autres en intégrant la tribut des Mamutoï. Une culture complètement différente de ceux du Clan de l'Ours des Cavernes. D'ailleurs, elle apprend également la fabrication du cuir, de vêtement, de nouvelles techniques notamment celle de la teinture mais transmet aussi son savoir et de même avec Jondalar.

Par contre, ce qui a été assez éprouvant pour moi dans ce tome et qui l'avait également été dans le précédent tome, ce sont les longueurs, puisque effectivement, il y a trop de détails qui ont déjà été répété plusieurs fois dans les précédents tomes et qui ce retrouvent également dans celui-ci. Je veux bien admettre que certains détails méritent d'être rappeler surtout si l'on ne lit pas la suite rapidement, mais il faut trouver le juste milieu ce que l'auteure n'a pas su faire, à mon avis.
Donc, pour moi, la première moitié du tome a été un peu longue et déplaisante mais j'ai lu la seconde moitié avec grand plaisir. En effet, c'est à partir de là qu'il ce passe le plus d'action et c'est également à ce moment que j'ai commencé à m'attacher à Jondalar. J'ai même ressentie de la compassion à son égard.
De plus, aucun personnage ne m'a déplut ce qui à été très agréable même si par période, certains personnages m'exaspérais mais j'imagine que c'est normal.

En conclusion, ce livre était une bonne lecture mais entre les trois premiers tomes, le Clan de l'Ours des Cavernes reste actuellement le meilleur à mes yeux.

lundi 30 septembre 2013

Harry Potter et la Chambre des Secrets, tome 2



Harry Potter et la Chambre des Secrets, J.K Rowling

Éditions Folio Junior

360 pages

Résumé :

Une rentrée fracassante en voiture volante, une étrange malédiction qui s'abat sur les élèves, cette deuxième année à l'école des sorciers ne s'annonce pas de tout repos ! Entre les cours de potion magique, les matches de Quidditch et les combats de mauvais sorts, Harry trouvera-t-il le temps de percer le mystère de la Chambre des Secrets ? Un livre magique pour sorciers confirmés.

Mon Avis :

Le tome deux : Harry Potter et la Chambre des Secrets est relu.
Je me permets de dévoiler un peu l'intrigue parce que je pense que beaucoup d'entre vous l'ont lu mais si ce n'est pas le cas, ne vous aventurez pas à lire mon avis.

J'ai apprécié replonger dans ce second opus et retrouver nos trois héros : Harry, Ron et Hermione mais j'ai aussi aimé retourner à Poudlard.
Dans ce tome, on en découvre un peu plus sur le château puisque l'auteure nous dévoile de nouveaux lieux comme le mystérieux bureau de Dumbledore, la Chambre des Secrets, les toilettes de Mimi Geignarde, etc. Et on est encore loin d'avoir tout vu !

Ce que j'ai également savouré c'est l'humour qui est toujours présent et même un peu plus que dans le premier tome. Et c'est surtout le professeur Gilderoy Lockhart qui y contribue puisqu'il est prétentieux et se vante énormément de ses exploits alors qu'on se demande comment il a pu les réaliser en étant trouillard.

De même, j'ai aimé la rencontre de Ron et Harry en tant que Crabbe et Goyle avec Drago grâce au polynectar concocté par Hermione. Dans cette rencontre, Drago n'apprend pas beaucoup de chose à Ron et Harry mais le peu de chose qu'il dévoile se révèle essentiel.

Par contre, j'ai été frustré par une chose : Hermione fait une découverte et fonce donc à la bibliothèque pour faire quelques recherches et se fait ensuite pétrifier. C'était pénible pour moi de ne pas savoir quelle découverte elle a faite. Parce que oui, j'ai la mémoire courte, du coup je ne m'en souvenais pas, même si j'ai lu le livre, vu et revu le film. C'est gênant pour ma petite curiosité mais cela crée du mystère et ce sont tous ces mystères qui motivent à continuer le livre. 

Je ne trouve rien de négative à dire. Donc, en définitive, ce tome 2 m'a beaucoup plu.

mardi 24 septembre 2013

Les Enfants de la Terre, tome 2 : La Vallée des chevaux



Les Enfants de la Terre, tome 2 : La vallée des chevaux, Jean M. Auel

Editions Pocket

699 pages

Résumé : 

Injustement chassée de la tribu qui l'avait recueillie, Ayla erre à travers les steppes désolées du nord de l'actuelle mer Noire, dans l'espoir de retrouver son peuple d'origine.
Elle finit par se réfugier dans une vallée où vit une troupe de chevaux sauvages. Là, elle fait d'extraordinaires découvertes et parvient à percer le secret du feu. Elle adopte aussi une pouliche et un lionceau, et parcourt le vaste monde, chassant en compagnie du plus puissant des prédateurs. Pour être pleinement heureuse, il ne lui manque qu'un compagnon. Mais le destin veille... Le jeune et blond Jondalar, après un long voyage riche en péripéties, la rejoindra et partagera sa vie dans la vallée.
Grâce à lui, Ayla va faire une découverte aussi importante que celle du feu : l'amour. Deuxième volet de la série " Les Enfants de la Terre ", La Vallée des chevaux confirmait l'irruption au firmament de la littérature romanesque d'une nouvelle étoile : Jean M. Auel, l'auteur de la plus grande saga préhistorique de tous les temps.

Mon avis :

Après avoir lu le premier tome qui fut un vrai coup de cœur pour moi, j'ai lu le deuxième tome : La vallée des chevaux.

Dans ce tome, on retrouve bien évidement la belle Ayla, seule, se dirigeant vers le nord pour retrouver les Autres. Et oui, souvenez-vous, à la fin du premier tome, Ayla avait été chassée du Clan de l'Ours des Cavernes par le chef lui-même : Broud.
Au cours de son voyage, elle tombera sur une caverne et décidera d'y passer l'hiver pour reprendre ensuite la route au printemps. Finalement, elle y restera plus longtemps que prévu.
Pendant ce temps, Thonolan et Jondalar, deux personnages avec qui on fait connaissance en début de roman, quittent leur propre clan, celui des Zelandonii, pour entamer un voyage. On suppose bien évidement qu'Ayla, Thonolan et Jondalar finiront par se rencontrer. D'ailleurs, les chapitres s'alternent entre Ayla et Thonolan/Jondalar.

J'ai beaucoup aimé retrouver Ayla. En effet, je m'étais beaucoup attachée à elle lors de la lecture du premier tome que c'était un plaisir d'aller une nouvelle fois à sa rencontre et d'y découvrir ses péripéties. Dans ce tome, elle fait des inventions comme le feu, la domestication d'une pouliche et d'un lionceau, des nouvelles techniques de chasse, etc. En bref, elle est si inventive et débrouillarde qu'elle en est admirable mais je trouve qu'à la longue, cela finit par gâcher un peu le réalisme de l'histoire puisqu'en effet, je pense qu'il est rare que ce soit une seule et même personne qui fasse autant de découvertes.
Je ne vais pas vous cacher que j'ai quand même beaucoup apprécié les belles découvertes d'Ayla. Et j'ai pris beaucoup de plaisir à lire les passages où elle apprivoise Whinney, Rapide et Bébé sans s'en rendre compte.
Je l'envie la belle Ayla.

Quant à Thonolan et Jondalar, c'est avec plaisir qu'on fait leur connaissance mais on devine assez vite ce qu'il adviendra d'eux : la rencontre avec Ayla. Ce n'est pas une chose très dérangeante puisqu'on l'attend avec impatience toutefois, j'ai trouvé déplaisant le fait que la rencontre entre les protagonistes se fassent longue à venir dans la mesure où les scènes de Thonolan et Jondalar tournent en longueur. Du coup, ce n'était plus avec plaisir que je retrouvais les deux frères Zelandonii mais avec appréhension, ainsi j'étais toujours pressée de retrouver la belle Ayla.
Le personnage de Jondalar m'a beaucoup déplut. Il est ce que je n'aime pas chez un homme : coureur de jupon, fainéant.
De même, les scènes du Don au Plaisir, les Premiers Rites... sont souvent de trop à mon goût. J'ai trouvé que l'auteure insistait un peu trop sur le sujet.

Voilà ce qui m'aurait plu : Que Ayla et Jondalar se rencontrent bien plus tôt et que Jondalar fasse certaines découvertes à la place d'Ayla ce qui aurai gardé un certain équilibre et réalisme.

Enfin, lorsque nos personnages font connaissance, j'ai ressenti un soulagement : « Il était temps ! »
Mais là encore, j'ai été contrarié. Ce n'était pas à la hauteur de ce que je désirais pourtant je ne m'attendais à rien de précis. Peut être ai-je mise la barre trop haute ?
Ce qui m'a le plus étonnée, c'est l'apprentissage de la langue par Ayla. Elle apprend la langue par les mot de base et les plus utiles et à force elle élargit énormément son vocabulaire. Jusque là, c'est logique. Ce qui l'est moins c'est quand Ayla fait un rêve qui rappel sa vie avant le fameux tremblement de terre où elle perd sa famille et qu'au réveille elle parle couramment la langue de Jondalar alors que la veille, elle avait encore du mal à exprimer ses sentiments.
Où est donc passé le réalisme tant apprécié dans le tome 1 ?

Je suis triste de dire que ce tome 2 a été une déception mais là, en l'occurrence, c'en ai une.
Je lirais quand même le tome 3, Les Chasseurs de mammouths mais avec appréhension et en essayant de me mettre dans la tête que Jondalar n'est pas insupportable puisque je sens qu'il suivra encore longtemps Ayla.

Pour conclure, je n'ai pas vraiment apprécié ce tome beaucoup trop lourd mais je sais que bon nombre de lecteur l'ont apprécié donc ne vous arrêtez pas à mon avis.

vendredi 20 septembre 2013

Harry Potter à l'école des sorciers, tome 1



Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling

Éditions Folio Junior

302 pages

Résumé :

Le jour de ses onze ans, Harry Potter, un orphelin élevé par un oncle et une tante qui le détestent, voit son existence bouleversée. Un géant vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, la célèbre école de sorcellerie où une place l'attend depuis toujours. Voler sur des balais, jeter des sorts, combattre les Trolls : Harry Potter se révèle un sorcier vraiment doué. Mais quel mystère entoure sa naissance et qui est l'effroyable V..., le mage dont personne n'ose prononcer le nom ?

Mon avis :

Je me suis inscrite à une lecture commune sur Livraddict, ce qui m'a permis non pas de lire mais de relire pour la première fois la saga. Et je dois dire que je suis bien contente d'avoir replongé dans le monde magique de J.K Rowling.

Harry Potter à l'école des sorciers. Que dire à son sujet ? Commençons par les personnages.
Harry est un jeune sorcier devenu célèbre depuis le jour où il a survécu à Lord Voldemort. Je trouve qu'il représente un peu le cliché des héros de roman pour jeunesse : fort, courageux, innocent. Néanmoins, ce n'est pas un défaut puisque cela ne m'a pas empêchée de m'attacher à ce personnage.
Ron, par son côté peureux et plein d'humour et Hermione, par son calme, sa patience et son intelligence, sont également attachant. Malgré tout, Hermione était insupportable en début de roman puisqu'elle est hautaine et méprisante bien qu'elle finit par se calmer.
Bref, je ne vais pas m'étaler sur tout les personnages, cela ne servirait à rien mise à part à me répéter étant donné qu'ils sont tous captivant.

Parlons du décors.
Un château pour représenter une école, ça fait rêver. Surtout que le château que J.K Rowling nous décrit est magnifique et surnaturel avec des escaliers qui bougent, des passages secrets, des tableaux qui parlent, des fantômes, etc. Bref, tous ce dont les enfants et même certain adulte désir. Même la forêt interdite, censé être effrayante, est magique et mystérieuse avec ses merveilleuses créatures.
Je ne sais pas d'où J.K Rowling sort toute cette imagination mais une chose est sûre : elle est admirable par le travail qu'elle a fourni.
De plus, sa plume est très agréable à lire.

En résumé, je ne regrette pas cette relecture et c'est même avec un grand plaisir que je replonge dans le monde de Harry.

mardi 3 septembre 2013

A la croisée des mondes, tome 1 : Les Royaumes de Nord



A la croisée des mondes, tome 1 : Les Royaumes de Nord, Philip Pullman

Editions Folio (Junior)

482 pages

Résumé :

Ce n'était pas une vie ordinaire pour une jeune fille de onze ans : Lyra vivait, en compagnie de son daemon Pantalaimon, parmi les Érudits de Jordan Collège, passant ses journées à courir dans les rues d'Oxford à la recherche éperdue d'aventures.

Mais sa vie bascule le jour où elle entend parler d'une extraordinaire particule. D'une taille microscopique, la Poussière que l'on trouve uniquement dans les vastes étendues glacées des Royaumes du Nord - est censée posséder le pouvoir de briser les frontières entre les mondes, un pouvoir qui suscite effroi et convoitises...

Jetée au cœur d'un terrible conflit, Lyra sera forcée d'accorder sa confiance aux gitans et à de terribles ours en armure. Et, lors de son périlleux voyage vers le Nord, elle devra découvrir pourquoi son propre destin semble étroitement lié à cette bataille sans merci où s'opposent des forces que nul ne l'avait préparée à affronter.

Mon avis :

Après plusieurs essais de lecture qui se finissait en abandon, j'ai enfin réussit à lire le tome 1 : Les Royaumes du Nord. Pourquoi j'ai eu tant de mal ? Tout simplement parce que j'ai un mal fou à entrer dans un livre lorsque j'ai vu le film auparavant, ce qui était le cas ici même.
Il a fallu que j'oublie une bonne partie de l'intrigue pour me plonger dans ce livre.

Lyra, l'héroïne du roman, est une petite fille de 11 ans qui se trouve être courageuse, intelligente et obstinée. En effet, cette petite n'hésite pas à entamer un voyage vers le Nord dans le but de retrouver son ami Roger et les autres enfants enlevé par les enfourneurs.
Lyra ne correspond pas à une enfant de 11 ans à mon goût. Elle fait preuve de ruse que j'en oublierais presque qu'il s'agit d'une enfant. Cependant, il ne faut pas oublier que ce roman s'adresse à la jeunesse. Ainsi, en me mettant dans la peau d'une jeune lectrice, je peux aisément trouver cela normal et j'irai même jusqu'à dire que je pourrai l'admirer.
Quant à Roger, je suis un peu déçu de la destinée que lui à réservé l'auteur et c'est dommage qu'il ne soit pas un peu plus présent dans le roman.

Je n'ai pas encore parlé d'une chose qui pourtant est essentielle : les deamons.
Un deamon est un être sous forme animal qui est relié à son humain et ne peut être séparé de lui. L'un ne peut pas vivre sans l'autre. De plus, les deamons peuvent changer de forme en fonction des besoins de son humain. Néanmoins, ils finissent par prendre une forme définitive correspondant aux traits de caractère de leur humain quand ces derniers atteignent la puberté.
J'ai trouvé cette idée génial et je ne vais pas vous le cacher, je veux un deamon.

Encore une chose que j'ai aimée : l'aléthiomètre. C'est un objet qui sert à apporter une réponse véridique à la question qu'on lui pose.
J'ai trouvé l'idée original. Et qui ne rêverait pas d'en posséder un ?

La poussière, il ne faut pas l'oublier : l'intrigue tourne autour de celle-ci. La poussière - composée de particule microscopique - est présente en petite quantité chez les enfants et en grande quantité chez les adultes. Elle fait objet de recherche et d'expérience qui s'avère être d'horrible test.
Je ne sais plus ce que j'en avais pensé en voyant le film mais dans ma lecture, l'idée de poussière ne m'a pas plus emballé que ça, bien que ce soit quelque chose d'essentielle.

En bref, malgré les choses qui m'ont plus ou moins déplut, ce premier tome reste un bon roman. Et j'ai hâte de lire la suite pour connaître la destinée de Lyra.

samedi 24 août 2013

Les Enfants de la Terre, tome 1 : Le Clan de l'Ours des Cavernes



Les Enfants de la Terre, tome 1 : Le Clan de l'Ours des Cavernes, Jean M. Auel

Éditions Pocket

544 pages

Résumé :

Il y a 35 000 ans, une longue période glaciaire s'achève et la Terre commence à se réchauffer.
Lentement, durant des millénaires, l'homme s'est peu à peu dégagé de la bête et il apparaît à peu près tel qu'il est aujourd'hui. Il connaît l'outil, le feu, le vêtement. Il fabrique des armes pour chasser, aménage des grottes pour s'abriter. Dans le chaos de la nature, il est parvenu à créer un peu d'harmonie.
En ces premiers temps du monde, Ayla, une fillette de cinq ans, échappe à un tremblement de terre et se sort des griffes d'un lion pour se réfugier auprès d'un clan étranger. On l'adopte. Très vite, les gestes et les paroles d'Ayla suscitent l'étonnement et l'inquiétude.

Mon avis :

Cela faisait longtemps que cette saga me faisait de l’œil.
En me baladant en librairie, j'ai craquée pour la couverture de la saga. J'ai donc lu la quatrième de couverture et je dois dire que je suis tombée sous le charme de ce résumé. Je me suis donc promise de lire le premier tome voire la saga entière un de ces jours.
Il m'a quand même fallu deux ans pour me lancer, mais voila, le premier tome est lu.

Jean AUEL nous présente la petite Ayla en début de roman. Cette petite fillette venant des Homme de Cro-Magnon perd sa famille dans un tremblement de terre qui est ensuite adopté par le Clan de l'Ours des Cavernes : des Hommes de Neandertal. Iza, la guérisseuse et Creb, le Mog-ur se chargeront de son éducation. Cependant, la venue de Ayla au sein du clan engendra des tensions et bouleversera la vie et les traditions du Clan de l'Ours des Cavernes.

J'ai trouvé le personnage d'Ayla très attachant et touchant mais aussi celui d'Iza, de Creb, d'Uba qui sont des personnages clefs dans ce récit. D'ailleurs, chaque personnage joue un rôle important et rend le Clan vivant et réaliste qu'on se sent transporté 35 000 ans en arrière en imaginant aisément leurs existences et leurs vécus durant leur période qui est la préhistoire.
La description de la faune, la flore et la vie du clan y est si bien retracé que cela rend la fabulation réelle et concrète.

L'intrigue est bien menée quoique je me sois régulièrement attendu aux évènement du roman. Je dois dire que cela m'a quelque peu déçu. Toutefois, cela n'enlève rien à la qualité de ce roman qui reste pour moi un vrai coup de cœur. De plus, la fin rattrape le coup puisqu'elle n'est pas celle que j'avais imaginée.

Le style de l'auteur est facile et agréable à lire. Cependant, j'ai eu du mal à suivre les personnages en début de roman du fait de la ressemblance des prénoms choisis. J'ai quand même réussit à faire abstraction de ce détail puisque le contexte permet de cerner les personnages.

En définitive, j'ai beaucoup appréciée ce roman. Et pour ceux ou celle qui hésite à le lire, un conseil : lancez vous.

vendredi 19 juillet 2013

Je n'irai pas chez le psy pour ce con



Je n'irai pas chez le psy pour ce con ! Isabelle Alexis

Éditions J'ai lu

250 pages

Résumé :

Grande pagaille dans les coulisses d'un plateau de télévision. Juliette, venue pour un entretien d'embauche, se retrouve interviewée à la place de Loren, écrivain célèbre. Les deux filles finissent pas s'amuser de la situation... et passent la nuit ensemble. Le lendemain, Juliette tue, sans le faire exprès, son petit ami - un dealer colérique qu'elle ne regrettera pas. Loren l'aide à faire disparaître le corps au plus vite... C'est alors qu'un corbeau s'en mêle.

Mon avis :

Un premier roman lu dans le genre chick-lit, "un roman écrit par les femmes, pour le marché féminin" d'après wikipédia.

Tout d'abord, ce qui m'a attiré : le titre. En effet, il m'a fait sourire donc je me suis ensuite intéressée à la quatrième de couverture qui ne m'a pas vraiment captivé. Cela dit, ne sachant pas quoi lire sur le moment j'ai fait l'effort de regarder des chroniques de lectrices qui s'avéraient être positive.
Donc je me suis lancée dans la lecture sans être très convaincue.

Juliette, à la recherche d'un emploi, se rend à son rendez-vous pour passer un entretien d'embauche. Elle se voit donner une interview pour promouvoir un livre qu'elle n'a pas lu à la place de l'auteure Loren qui à son tour passe l'entretien d'embauche dans le rôle de Juliette. Suite à cet incident, les deux femmes font connaissance.
Juliette va malencontreusement tuer son fiancé et fera appel à sa nouvelle amie Loren pour l'aider à dissimuler le corps.
Rien ne se passera comme prévu d'autant plus qu'un corbeau leur mettra la pression.

J'ai beaucoup appréciée les personnages que sont Juliette et Loren qui m'ont fait sourire plus d'une fois. D'ailleurs, j'avais hâte de savoir comment leur histoire finirait.
Ce livre se lit facilement et rapidement, sans prise de tête. Malgré tout, il ne faut pas le prendre au sérieux pour en apprécier son contenu.

J'ai passée un bon moment et pour ceux qui ont envie de rire, je le recommande.

jeudi 18 juillet 2013

Les Piliers de la Terre



Les Piliers de la Terre, Kent Follett

Éditions Le livre de poche

1049 pages

Résumé :

Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Les batailles sont féroces, les hasards prodigieux, la nature cruelle. Les fresques se peignent à coups d'épée, les destins se taillent à coups de hache et les cathédrales se bâtissent à coups de miracles... et de saintes ruses. La haine règne, mais l'amour aussi, malmené constamment, blessé parfois, mais vainqueur enfin quand un Dieu, à la vérité souvent trop distrait, consent à se laisser toucher par la foi des hommes.

Mon avis :

Je n'avais jusqu'ici jamais lu de livre historique puisque je dois l'avouer j'avais une image plutôt négative concernant ce genre. Mes parents ont lu ce livre et me l'ont fortement recommandé. J'ai fini par me lancer dans la lecture du pavé et je dois les remercier de me l'avoir recommandé.

En début de livre, on commence par faire connaissance de Tom le bâtisseur et sa famille qui parcourent les routes à la recherche de travail et qui finira par réaliser son rêve : construire une cathédrale. A travers le parcours de cette famille et des nombreux autres personnages qui viendront pimenter l'intrigue, on découvre la dureté de la vie au XIIe : guerre, conspiration, famine.
J'ai été impressionnée de voir à quel point certains personnages peuvent être prêt à tout pour parvenir à leur fin. De la guerre à la conspiration en passant par le viol, les meurtres et autres cruautés, ils sont prêt à tous pour combler leur soif de pouvoir.

On se rend compte qu'à cette époque la religion était très présente et importante. La population avait peur d'une malédiction ou d'une menace venant d'un homme de Dieu. Cela permettait de faire revenir certains personnages sur le droit chemin, du moins pour un temps généralement très court.

Les personnages et lieux y sont très bien décrit avec un bon réalisme. Le livre se lit facilement d'autant plus que le style de Kent Follett est très agréable à lire.

Je n'apporterais pas de point négatif puisque cela fait un moment que je l'ai lu et je ne me souviens pas vraiment de ce qui m'avait dérangé durant ma lecture. Si, peut être des passages que l'auteur aurait pu raccourcir.

En conclusion, Kent Follett nous offre un livre historique bien romancé. Une lecture très agréable. Et j'ai envie de dire merci à M. Follett pour l'ouverture d'esprit que son roman m'a apporté concernant la religion. Quand je vois une église, une cathédrale, je ne vois pas que le côté religion, je vois également une vie autour de l'église ou cathédrale.

En bref, je recommande Les Piliers de la Terre.