vendredi 28 février 2014

Harry Potter et l'Ordre du Phénix, tome 5



Harry Potter et l'Ordre du Phénix, J.K Rowling

Éditions Gallimard

975 pages

Résumé :

A quinze ans, Harry s'apprête à entrer en cinquième année à Poudlard. Et s'il est heureux de retrouver le monde des sorciers, il n'a jamais été aussi anxieux. L'adolescence, la perspective des examens importants en fin d'année et ces étranges cauchemars... Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour et, plus que jamais, Harry sent peser sur lui une terrible menace. Une menace que le ministère de la Magie ne semble pas prendre au sérieux, contrairement à Dumbledore. Poudlard devient alors le terrain d'une véritable lutte de pouvoir. La résistance s'organise autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours..

Mon avis :

La fin du précédent tome marque la renaissance du Seigneur des Ténèbres. On s'attend donc à un cinquième tome plus sombre que les précédents. Et en effet, cela se confirme dès les premiers chapitres notamment avec la venue de détraqueurs chez les moldus qui aura certaines conséquences pour Harry : l'utilisation de magie en dehors de Poudlard, ce qui engendra sa possible expulsion de l'école.

Comme dans chaque tome, des nouveaux personnages font leur apparition : des bons et des mauvais. L'adorable cousine de Sirius et la peste d'Ombrage. De plus, d'autres y sont plus développé. C'est le cas de Neville Londubat ou encore de Luna Lovegood. Et pour ma part, je pense que ce n'est qu'une bonne chose que Rowling approfondisse ses personnages secondaires.
Dans Harry Potter et la Coupe de Feu, nous apprenions que les adolescents commençaient à éprouver des sentiments les uns envers les autres mais ici, les premiers pas se font réellement. En effet, Ginny sort avec un mec de Poufsouffle, Harry et Cho commencent à se fréquenter, les disputes incessantes de Ron et d'Hermione qui en disent long continue, etc. C'est amusant et sympathique de les voir grandir.
Par contre, dans cet opus, Harry est rebelle. Il se met très facilement en colère, tout comme Mrs Weasley. C'est compréhensible, le retour de Vous-Savez-Qui doit être assez dur à vivre psychologiquement mais parfois, c'est pénible.

L'histoire continue à se complexifier. Et c'est tellement appréciable et excitant d'en apprendre plus sur Harry, Lord Voldemort et d'autres personnages que je suis triste de refermer le bouquin. Cela dit, cette fois, je ne suis pas obligée d'attendre deux ans pour lire la suite.

En bref, un tome qui supporte moins la relecture que les autres mais qui n'en reste pas moins excellent.

mardi 11 février 2014

Harry Potter et la Coupe de Feu, tome 4



Harry Potter et la Coupe de Feu, J.K Rowling

Editions Gallimard

651 pages

Résumé :

Harry Potter a quatorze ans et entre en quatrième année au collège de Poudlard. Une grande nouvelle attend Harry, Ron et Hermione à leur arrivée : la tenue d'un tournoi de magie exceptionnel entre les plus célèbres écoles de sorcellerie. Déjà les délégations étrangères font leur entrée. Harry se réjouit... Trop vite. Il va se trouver plongé au cœur des événements les plus dramatiques qu'il ait jamais eu à affronter. Dans ce quatrième tome bouleversant, drôle, fascinant, qui révèle la richesse des enjeux en cours, Harry Potter doit faire face et relever d'immenses défis.

Mon avis :

Un quatrième tome pour une quatrième année à Poudlard.
Cette nouvelle année sera un peu différente des précédentes. Je m'explique : en plus des vacances chez les Dursley et des cours à Poudlard, nous assisterons à la coupe du monde de Quidditch ce qui permet au lecteur de "participer" à un camping façon sorcier. De même, le tournois des trois sorciers se déroulera à Poudlard et fera venir des élèves de Durmstrang, l'école de sorcellerie Bulgare et de Beauxbâtons, l'école française.

Je ne suis pas très fan du sport en général donc je m'attendais à ce que la relecture du match de Quidditch soit pénible. Finalement, c'est avec grand plaisir que j'ai pu suivre le match qui oppose la Bulgarie et l'Irlande. Il faut dire que les mascottes - Farfadets et Vélanes - ont rendu les choses agréables.

Parlons du tournois des trois sorciers. C'est là, une très bonne idée pour mettre un peu de peps à cette nouvelle année scolaire. Ce tournois comprend trois champions de trois écoles différentes - Durmstrang, Beauxbâtons et bien évidement Poudlard - qui devront effectuer trois tâches. Je pense que je ne surprendrai personne si je dis que Harry fera partie d'un des champions.
Tout au long de l'année, Harry devra donc se concentrer sur ses tâches mais il sera bien évidement aidé par ses fidèles amis, Ron et Hermione.

Dans ce quatrième tome, l'auteur a fait évoluer ses personnages en les confrontant aux petits soucis d'adolescent pour les plus jeunes. Des sentiments amoureux commencent à se développer - Ron et Hermione par exemple - tout comme la jalousie - Ron envers Harry - mais également des opinions politiques avec la SALE. En somme, le lecteur est témoin de l'évolution des personnages ce qui lui permet de s'attacher à eux.

Ce tome est marqué par le retour de Vous-Savez-Qui et ses partisans, les mangemorts. Il devient donc plus sombre et annonce la couleur pour la suite des aventures du jeune sorcier qui vont en se complexifiant.
Malgré ce côté plus noir, l'auteur n'oublie pas d'y mettre une pointe d'humour. Je cite : “Tout le monde sait parler troll, dit Fred d'un air dédaigneux, il suffit de grogner en montrant du doigt.” Je pourrais vous en citer d'autre mais je préfère vous laissez découvrir.

Pour conclure, je ne peux rien dire d'autre mis à part que c'est un super tome.

vendredi 31 janvier 2014

Après la fin



Après la fin, Barbara Abel

Editions Fleuve Noir

332 pages

Résumé :

Tiphaine et Sylvain vivent ensemble depuis presque 20 ans. Ils ont connu des moments merveilleux et ont surmonté main dans la main des épreuves difficiles. Comme tant d’autres époux… Aujourd’hui leur couple bat de l’aile et élever Milo, leur fils de 15 ans, n’est pas une partie de plaisir. Une situation qui pourrait être très classique… Si Milo n’était pas leur fils adoptif. Si Milo n’était pas le fils de leur ancien voisin David qui s’est suicidé dans sa propre maison. Si Milo n’était pas le meilleur ami de Maxime, leur fils, décédé brutalement à l’âge de 7 ans. Si Milo n’avait pas hérité de la maison de son père dans laquelle vit désormais la nouvelle famille recomposée. Et si une nouvelle voisine n’était pas venue s’installer précisément dans leur ancienne maison, de l’autre côté de la haie, avec un petit garçon de 7 ans… La fin de Derrière la haine nous a tous bouleversés. Barbara Abel n’en reste pas là. Que deviennent Tiphaine, Sylvain et Milo, ces trois personnages qui ont vécu l’horreur et qui ont inconsciemment choisi de s’imposer l’enfer quotidien en restant dans une maison qui a abrité tant de drames ? Et juste à côté d’une autre maison qui, dès qu’ils en rouvriront la porte, laissera ressortir tous les fantômes du passé ?

Mon avis :

Ce livre est la suite de Derrière la haine. Le lecteur retrouve donc une famille reconstituée composée de Sylvain, Typhaine et Milo huit après le drame, les "évènements" comme le nomme à plusieurs reprises Barbara Abel. Ainsi, nous découvrons comment ils s'en sont sorti, ce qu'il est advenu d'eux.

Pour commencer, je ne m'attendais pas à une suite de Derrière la haine puisque la fin nous a donné tous les éléments nécessaires pour nous satisfaire. Enfin, personnellement, je ne me suis posée aucune question après avoir refermé le bouquin. Cependant, au moment où j'ai appris que B. Abel sortait une suite, je me suis plutôt réjouis. Pourquoi pas ? Est ce que ce second opus donnerai le même effet que le premier ? Eh bien, oui ! Après la fin est à la hauteur de ce que j'attendais de lui bien qu'un peu lent à démarrer.
Bref, l'intrigue est bonne et bien mise en scène.

Ensuite, les personnages sont bien développé. Attachant, détestable, intriguant, ils ont tous un petit quelque chose qui ne nous laisse pas indifférent.

Pour finir, j'apprécie beaucoup le style de l'auteur, simple et agréable à lire. De même, j'aime le fait que les chapitres soient court. Lorsque je souhaite faire une pause dans ma lecture, je souhaite le faire à la fin d'un chapitre ce qui peut être dur à faire lorsque les chapitres sont long. Ici, ce n'est pas le cas, au contraire, je me dis encore un chapitre et puis un deuxième, un troisième...

Pour conclure, j'ai passé un agréable moment durant cette lecture. Et je ne regrette pas ce prolongement malgré le fait que Derrière la haine se suffise à lui même.

mercredi 29 janvier 2014

Les Enfants de la Terre, tome 5 : Les Refuges de pierre



Les Enfants de la Terre, tome 5 : Les Refuges de pierre, Jean M Auel

Éditions Presse de la Cité

647 pages

Résumé :

Passé la surprise et l'émerveillement suscités par Ayla, la jeune étrangère aux cheveux blonds qu'ils ont recueillie, les hommes du "clan de l'ours" ont pris peur de ses dons extraordinaires. Parce qu'elle prétend chasser comme les hommes, parce qu'elle sait rire et pleurer, éprouve des sentiments inconnus d'eux, parce qu'elle voudrait garder son enfant pour elle seule enfin, Ayla sera maudite et exilée. "Pars à la recherche de ton peuple, lui a dit Iza la guérisseuse. Va vers le nord, retrouve ton clan et un compagnon." Un long voyage solitaire commence, au bout duquel Ayla rencontre deux jeunes gens insouciants et aventureux. L'un d'eux est Jondalar. Comme elle, il est blond et ses yeux sont bleus.

Mon avis : 

C'est dans ce cinquième tome, Les Refuges de pierre, qu'Ayla fait la connaissance du peuple de Jondalar.
Une rencontre tant attendue qui suit la même démarche que les précédentes rencontres : Ayla se fait tout de suite accepter par le peuple qui la vénère, admire son grand pouvoir... ce qui n'empêche pas quelques rares personnes de la détester et/ou d'être contre son acceptation.
Auel ne suit pas le même schéma qu'avec les rencontres entre son héroïne et les autres, elle le suit à tous les coups. Si l'on prend l'exemple de Loup : les gens sont (presque) systématiquement effrayé - ce que je comprends - par ce carnassier, donc Ayla les rassurent, leur demande de tendre la main pour que Loup la renifle et leur propose de gratter Loup derrière les oreilles puisqu'il adore ça. (page 404). En trois mot, du déjà vu.

Je dirais que l'auteure est abonnée aux répétitions. D'ailleurs, je me demande, selon elle, quel peut être un critère de qualité d'un roman. L'épaisseur d'un livre quitte rabâcher les deux tiers du temps ? Non, mais faut qu'on m'explique parce que là, je ne comprends pas.

Voici quelques exemples :
-Jondalar raconte sa première rencontre avec des Têtes Plates où il avait dû partager son poisson avec eux lors de la pêche.
-De nombreuses démonstrations de l'utilisation de la fameuse pierre à feu.
-Auel explique pour la énième fois le langage qu'Ayla à créé pour communiquer avec ses chevaux et qu'elle est la seule à comprendre. De même, elle nous répète comment Ayla à eu l'idée de d'adopter, d'éduquer, de monter sur le dos de Whinney...

Tout ça pour dire que l'auteure n'est probablement pas faite pour écrire des sagas. Bon, c'est vrai que je ne peux pas me permettre de juger surtout sur une seule saga.

Passons aux points positifs. Ah, parce qu'il y en a ?! Eh bien, oui, on en note quelques uns. C'est le cas de la découverte d'une nouvelle grotte décrite comme une merveille. C'était plutôt excitant sauf qu'il ne s'est rien passé avec celle-ci.
De même, on observe que les habitations des Zélandonii sont différentes de celles visitées auparavant. C'est très intéressant, cependant je n'ai pas pris beaucoup de plaisir à lire ces descriptions comme toutes les nouvelles descriptions dans la mesure où le roman est trop pesant en général.

En définitive, ce roman est trop long, trop détaillé, fastidieux à lire et il n'y a pas vraiment d'action.

Je tiens à remercier Parthenia pour cette lecture commune. Sans cela, je ne serais certainement pas allée jusqu'au bout.

vendredi 24 janvier 2014

L'Appel du Coucou



L'Appel du Coucou, Robert Galbraith

Editions Grasset

576 pages

Résumé :

Une nuit d'hiver, dans un quartier chic de Londres, le célèbre mannequin Lula Landry est trouvée morte, défenestrée. Suicide. Affaire classée. Jusqu'au jour où l'avocat John Briscow, frère de la victime, frappe à la porte du détective privé Cormoran Strike.

Strike est au bout du rouleau : ex-lieutenant dans l'armée, il a perdu une jambe en Afghanistan, sa carrière de détective est au point mort et sa vie privée un naufrage. Aidé par une jeune recrue intérimaire virtuose de l'Internet, Strike est chargé d'enquêter sur la mort de Lula.

De boîtes de nuit branchées en hôtels pour rock-stars assaillies par les paparazzi, en passant par un centre de désintoxication et le manoir où se meurt la mère adoptive de Lula, Strike va passer de l'autre côté du miroir glamour de la mode, dont les reflets chatoyants dissimulent un gouffre de secrets, de trahisons, de manoeuvres inspirées par la vengeance.

Mon avis :

Lula Landry est une célèbre mannequin retrouve morte au bas de son immeuble. Ainsi, une enquête est mené et aboutit à un suicide. Cependant, John Bristow - frère de Lula Landry et avocat très coté - n'y croit pas. Il va donc embaucher un détective privé, Cormoran Strike.

Ce polar est le premier roman de Robert Galbraith ou du moins, le premier roman de J.K Rowling dans ce genre.

L'intrigue est bonne bien que classique : un suicide qui se révèle être un meurtre. Cela ne m'a pas empêché d'apprécier ce roman de qualité.
Les personnages sont attachant, et on a toujours envie d'en apprendre plus sur eux, notamment sur Cormoran ou encore sa secrétaire Robin. De même, j'ai eu une impression de proximité envers ces derniers, ce qui m'a permis d'avoir le sentiment d'être à leur côté lors de leur visite de la ville de Londres. Cet effet est également dû à la réussite de la description des lieux.

Quant au coupable, à aucun moment je ne l'ai soupçonné : il me paraissait inconcevable que le meurtrier soit celui-ci mais grâce aux explications de l'auteur, tout prend un sens et ce qui était illogique devient logique.

Contrairement à Une Place à Prendre qui a été une lecture fastidieuse, L'appel du Coucou, elle, a été une lecture agréable. Ce roman se lit bien et facilement, sans prise de tête.
Bien que ce polar soit très bon, ce n'est pas le meilleur que j'ai pu lire dans le genre :il est un peu lent. Cela dit, pour un premier policier, l'auteur s'en sort très bien.

En bref, ce fut une bonne lecture !

samedi 18 janvier 2014

Barbe bleue



Barbe bleue, Amélie Nothomb

Editions Albin Michel 

170 pages

Résumé :

« La colocataire est la femme idéale. »

Mon avis :

C'est la première lecture d'un Nothomb. Ce que j'en pense ? A vrai dire, pas grand chose.
J'adore le conte Barbe Bleue de Charles Perrault mais la réadaptation d'Amélie Nothomb ne m'a pas aussi satisfaite que ça.

Don Elemirio Nibal y Milcar y joue le rôle de Barbe Bleue et Saturnine Puissant, celui de la nouvelle colocataire de Don Elemirio.

Les deux protagonistes ne m'ont pas si convaincu. Ils avaient tendance à être plutôt agaçant. Cette opinion vient certainement du fait que le roman se base essentiellement sur un dialogue entre les deux personnages et qu'il manque de description pour me faire entrer dans le roman. En effet, j'ai l'impression que l'auteure me tient à l'écart par la rareté de la description.

Cela dit, le récit se lit vite et reste agréable à lire.

En conclusion, je suis un peu déçu par ce livre puisqu'on m'a toujours donner des avis très positifs sur les livres de Nothomb en général.
Peut-être bien que je relirais un de ses livres. Maintenant que je sais à quoi m'attendre, je ne serai probablement pas déçu.

samedi 23 novembre 2013

Les Enfants de la Terre, tome 4 : Le Grand Voyage



Les Enfants de la Terre, tome 4 : Le Grand Voyage, Jean M. Auel

Éditions France Loisirs

1020 Pages

Résumé :

Ayla et Jondalar, son compagnon, continuent leur traversée des steppes immenses du continent européen à l'ère glaciaire. La femme aux cheveux d'or et le géant blond suscitent le trouble et l'effroi sur leur passage. Les peuples qu'ils rencontrent vivent de chasse, de cueillette, et n'ont jamais vu d'animaux domestiqués. Or, ce couple étrange se déplace à cheval, en compagnie d'un loup apprivoisé. D'où tient-il donc ses pouvoirs ?
En quête d'un lieu qui deviendrait leur foyer, Ayla et Jondalar affronteront mille périls et feront maintes découvertes au cours de ce voyage initiatique à travers un monde inconnu, dangereux et grandiose.

Mon avis :


J'appréhendais ce tome étant donnée que c'est dans ce tome que Jondalar retourne chez lui, les Zélandonii, avec Ayla. Si vous avez lu mon avis sur le tome 2, La Vallée des Chevaux, vous saurez que je n'avais pas apprécié Jondalar et son voyage qui l'a mené jusque Ayla dans sa petit vallée. C'est pourquoi je craignais ce voyage qui devait bien arrivé un jour ou l'autre et de même, je redoutais les répétitions "habituelles" de l'auteure.

Ce tome permet à Ayla de faire la connaissance des peuples que Jondalar et son frère Thonolan ont rencontré durant leur voyage, une chose plutôt positif pour elle. Ce qui est bien ici, c'est que les scènes avec ceux que Jondalar avait rencontré auparavant reste courte, ce qui évite les répétitions fréquentes de Jean M Auel bien qu'il y en ai quand même avec la description du paysage, par exemple.

Le point négatif de ce roman est la longueur. La romancière aurait largement pu raccourcir ce tome assez long pour ce qui s'y passe : le peu d'action peut parfois laisser place à la lassitude. Et justement, pendant toute la première partie du livre, je me suis un peu ennuyée sans pour autant me mettre détester ce livre.
Bien heureusement, le couple fera plusieurs rencontres, ce qui pimentera le récit, notamment avec la rencontre des S'Armunaï ou encore des Têtes Plates, mais je ne peux pas détailler cela pour ne pas vous gâcher la lecture. En tout cas, j'ai vraiment adoré la rencontre avec les S'Armunaï et j'ai presque l'impression de ne retenir que cette rencontre du livre.

Encore une chose qui m'a plus ou moins déplut : j'ai l'image d'un Jondalar qui domine en imposant régulièrement à Ayla de se remettre en route et cela me gêne un peu puisque je préfèrerai que ce soit le contraire. Ayla reste toujours ma chouchoute, mais ce n'est qu'un détail qui ne m'a pas fortement dérangé non plus.

Ce que je retiens également ici, c'est que l'auteure n'a pas oublié le vêtement qu'Ayla a fabriqué chez les Mamutoï à l'intention de Jondalar. Me voilà rassurée étant donnée que j'ai hâte que la belle Ayla offre sa fabrication à son compagnon et de voir la réaction de ce dernier.

En conclusion, ce tome est un peu longuet mais cela ne m'a pas empêché pas d'avoir apprécié cette lecture, merci aux S'Armunaï !
Je pense qu'en le raccourcissant, ça aurait pu être un excellent tome.

Merci à Parthenia pour cette lecture commune.